• Auteur :

    Catherine Phalippou

  • Chêne « en acte »

    Chêne « en acte »

  • Ne pas rester spectatrice

    Militante associative, soit, mais essentiellement citoyenne n'ayant jusqu'ici jamais eu que le souci de remplir son devoir civique, je me suis engagée durant la campagne des Cantonales de 2011 en soutien à Jean-Marie Goater pour rappeler que la citoyenne, le citoyen lambda est responsable quand elle ou il laisse mourir le débat d'idées et consent que des politiques professionnels le confisquent.
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Quartier en démolition.

Posté par Catherine Phalippou le 9 juin 2011

 Ce que le peuple veut…

Billet attristé du blog « Hé, lecteurs à St Martin ! »

La bibliothèque de St Martin a été fermée, les jardins vont être condamnés…

Eh ! Il ne restera plus que l’école Joseph Lotte à fermer à une rentrée prochaine…

Une Réponse à “Quartier en démolition.”

  1. Olivier Neau dit :

    Je suis un des jardiniers locataires sur les prairies saint martin et j’ai participé à la réunion d’information de la mairie. Evidemment nous sommes tous très déçus par la décision prise par la mairie, de la tristesse mélangée à de la colère. Le manque de clarté de la mairie depuis 2 ans avait nourri nos doutes.
    Vous direz qu’il y a plus grave que ça, mais pour une partie des jardiniers qui habitent les tours de Maurepas leur jardin c’est leur vie.
    Mais les prairies c’est bien plus que ça : il y a une dizaine de personnes agées habitantes qu’on veut déloger, des squatteurs qui vivent paisiblement. C’est tout un écosystème humain qui va sans doute disparaître

    J’aimerais que dans la presse on puisse entendre une autre voie que la communication de la mairie :
    Les jardins sont loin d’être aussi pollués qu’ils veulent bien le dire : l’étude que nous avons tous reçu montre que si notre consommation de légumes à l’année ne vient que des prairies (ce qui n’est le cas d’aucun jardinier) et cela pendant 30 ans, nous sommes au seuil du risque de contamination…
    Concernant le risque de cru, bien sûr que nous sommes favorables à ce que les jardins inondent, ce qui est déjà le cas. En quoi les jardins sont une entrave aux crues centennales ?
    J’aimerais bien savoir exactement ce que préconise la préfecture concernant le PPRI,
    au lieu de cela les représentants de la mairie nous disent que cette décision ne leur appartient pas et qu’ils ne font que l’appliquer (en même temps la mairie a négocié avec la préfecture ce PPRI…)
    En ce qui concerne la réatribution de jardins, nous n’avons eu que des promesses mais rien de formel
    Donc beaucoup de sujets de mécontentement sans qu’on nous ait apporté de réponse franche et concrète

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